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Le lait, une sacrée vacherie…
Je poste cet article car il me parait important vu la consommation de lait que nous faisons tous. Par ailleurs, j'ai moi-même été grand consommateur de produits laitiers durant des années et j'ai pu constater qu'en diminuant sensiblement la consommation, des maux comme une mauvaise respiration du à un nez bouché à longueur d'année, larmoiement, langue blanche… disparaissaient presque totalement. Des amis qui avaient des maux de tête très violents, des constipations récurrentes disparaissaient eux aussi totalement (conjointement à une alimentation non carné). Comme il est dit en fin d'article "Le mieux est encore de constater par soi-même" ... Vous trouverez la totalité du magazine d'où a été tiré cet article dans "mes liens préférés" "Vebmag".
"Le lait, une sacrée vacherie", "Le lait, poison mortel", "Le lait, mensonge et propagande" ou encore "Viande et lait, des aliments dangereux pour la santé" : "Le lait perd ses médailles au rythme des publications scientifiques", pouvait-on lire en octobre dernier sur Magénération.com
Le consommateur y perd son latin.
Riche en protéines, glucides, minéraux, vitamines et surtout calcium, indispensable pour la croissance et la solidité des os, le lait a toujours été vivement recommandé sinon imposé. Et le voilà au banc des accusés: indigeste, entraînant une déminéralisation, des risques d'inflammation ou d'encrassement tissulaire, dangereux pour les bébés, responsable de nombreuses et graves allergies, voire décalcifiant et soupçonné de participer au déclenchement de l'ostéoporose. L'aliment miracle serait-il un poison?
De tout temps, pourtant, l'homme a consommé du lait. Les premières traces d'élevage se retrouvent au Moyen-Orient il y a plus de 10 000 ans. On en retrouve des témoignages dans l'Antiquité, chez les Grecs et les Romains. Mais, de complément, lobbying des producteurs et industriels aidant, le lait est devenu la base de l'alimentation dans les pays occidentaux. Du petit-déjeuner au dîner, il est partout. Difficile de trouver un pain, un biscuit, un dessert et même un plat préparé dans lequel il n'entre pas dans la composition. Un Français consomme en moyenne 73 litres de lait par an. Une surconsommation sur laquelle même les spécialistes partisans commencent à émettre des réserves.
Le professeur Serge Hercberg, directeur de recherche à l'Inserm, estime "qu'il est plus risqué de ne pas en consommer du tout que d'en consommer trop". Mais le rhumatologue et membre de l'Académie de médecine, Joël Menkes, est moins affirmatif. Il a publié, en avril 2008, conjointement avec le Dr Claude Jaffiol et... l'Académie d'agriculture, un rapport intitulé "Est-il raisonnable de se priver de lait et de produits laitiers?". Tout en soulignant que selon lui le lait est la principale source de calcium, il reconnaît que les doses supérieures à 2000 mg par jour sont inutiles et que les carences sont relativement rares. De même, il admet que "le rôle du calcium sur l'ostéoporose est controversé", le problème n'étant pas que "vitaminocalcique". Membre, lui aussi de l'Académie de médecine, Claude Jaffiol explique que le calcium du lait inhiberait les acides gras et que certains
acides aminés interviendraient dans la régulation de l'appétit, d'où une prévention de l'obésité et du diabète sucré. Cela étant le professeur recommande tout de même "de préférer les produits allégés" ...
Un groupe de pression
Cancérologue à la faculté de médecine, Henri Joyeux, assure quant à lui que Il nous n'avons pas besoin de plus de 1 g de calcium par jour et il faut faire attention à ne pas abuser des produits laitiers ». Il a accepté de préfacer l'ouvrage de Thierry Soucar, journaliste, éditeur et biochimiste de formation, qui critique vivement le Programme national nutrition santé qui, depuis 2001, recommande de consommer trois à quatre produits laitiers par jour.
En 1991 déjà, le Dr Nicolas Le Berre, médecin homéopathe et acupuncteur, publiait "Le lait, une sacrée vacherie". Une mise en garde face aux moyens mis en place par la filière du lait et de l'industrie agro-alimentaire. Une publicité incessante relayée par les médecins, les instituteurs. Un groupe de pression extrêmement puissant.
Le lait, affirme-t-il, apporte trop de protéines dont la composition en acides aminés a un effet cardiovasculaire néfaste et une probable action en cancérogénèse. Elles sont un des principaux allergènes de la petite enfance. Le lait contient trop de graisses essentiellement saturées. Le sucre du lait, le lactose, a un bon index glycémique mais il irrite l'intestin et est mal digéré. Enfin, on ne trouve dans le lait aucune fibre alimentaire, aucune molécule bioactive sauf dans les produits fermentés. Et tout cela pour du calcium dont un tiers seulement sera absorbé. Nicolas Le Berre soupçonne également le lait de responsabilité dans les rhumatismes inflammatoires, la polyarthrite, les affections de la thyroïde, la maladie de Basedow.
Quitte à boire du lait, l'auteur conseille le bio: "Les vaches se nourrissent d'herbe et ne subissent pas de traitement". Mais il n'empêche: "Le lait peut rendre malade".
Diabète et cancer du sein
Le biologiste américain Robert Cohen ("Le lait, poison mortel") est plus strict encore. En 1994 déjà, Il des scientifiques italiens et des chercheurs de l'université du Colorado ont montré une relation absolue de cause à effet entre la consommation de lait et le diabète », rappelle-t-i1, ajoutant que "les Scandinaves sont parmi les plus grands buveurs de lait de la planète et que c'est chez eux que l'on trouve certains taux les plus élevés de diabète et d'ostéoporose". "La recherche scientifique indique que les protéines du lait détruisent les cellules bêta productrices d'insuline du pancréas, causant ainsi le diabète." Quant au calcium dans le lait, "il n'est pas absorbé de manière appropriée et la consommation de lait est un suspect sur la liste des causes de l'ostéoporose".
"Le lait est la cause d'allergies, de coliques, d'otites, de rhumes et de congestion chez les jeunes enfants", ajoute-t-il. La pasteurisation, "qui altère la composition", est en outre inefficace. Les bactéries forment des spores et retrouvent leur état d'origine lorsque le lait refroidit. Et encore : "chaque gorgée de lait apporte des hormones de croissance, des acides gras, du cholestérol, des protéines allergéniques, du sang, du pus, des bactéries, des virus".
L'auteur va plus loin, notant que le lait est considéré par certains chercheurs comme l'un des responsables de la raison pour laquelle une femme américaine sur six va développer un cancer du sein.
Les ouvrages dénonçant les méfaits du lait sur la santé se multiplient, les conseils des médecins recommandant de limiter la consommation de produits laitiers et les témoignages de personnes ayant constaté une amélioration (sinusite, digestion ...) après un arrêt total, également. Le mieux est encore de constater par soi-même ...
mardi 19 janvier 2010